Ponctuellement, les jeux vidéo sont suspectés de pousser les adolescents à la violence, principalement quand ils sont amenés à tuer virtuellement le plus grand nombre d'ennemis. Des scientifiques de l'université de l'Indiana, aux Etats-Unis, l'ont vérifié, en 2011, en observant la façon dont le cerveau d'une vingtaine de joueurs fonctionnait dans de telles circonstances. Ainsi, grâce à des appareils de neuro-imagerie, la partie de leur cerveau qui touche au contrôle des émotions et à l'agressivité était moins sollicitée. En d'autres mots, ces personnes étaient moins capables de maîtriser une possible montée de violence.
A l'université américaine du Missouri, toujours en 2011, 70 jeunes ont été amenés à utiliser un jeu vidéo violent ou non. Ensuite, des psychologues leur ont présenté des images plus ou moins dures. Après avoir joué 25 minutes avec un jeu guerrier, des images reprenant une scène d'agression leur ont été montrée. Ils ont peu réagi. Pire, présentés ensuite à un test d'agressivité, ils sont apparus offensifs.
Le cerveau utilise 20 % de nos denrées alimentaires et a besoin aussi d'une alimentation équilibrée. Le poisson est excellent pour la mémoire, non pas pour le phosphore qu'il contient, mais pour les oméga-3 et les vitamines qu'il recèle.
Les oméga-3 sont des acides gras. Ils sont présents dans certains poissons (le maquereau, la sardine, le saumon ou les anchois). Ils favorisent la transmission d'informations entre les zones du cerveau. Selon différentes études, une personne exerçant un régime riche en omaga-3 DHA aiderait les cellules de sa mémoire à mieux communiquer entre elles.